Immobilier non coté « Grand Paris »

Et si vous boostiez votre PEA avec un peu d'immobilier !

Nous avons indiqué sur notre site que le PEA était le dernier paradis fiscal français. Pourquoi ne pas en profiter ? Pour commencer, vous pourriez vous laisser tenter par de l'immobilier, pour chercher un peu de stabilité et vous rassurer par des actifs tangibles.

Seulement, au sein d’un PEA ou d’un PEA-PME, les foncières (ayant le statut de Société d’Investissement Immobilier Cotée) ne sont pas éligibles. Il faut donc sortir des sentiers battus et se tourner vers le non coté pour s’intéresser à l’immobilier avec des fonds que votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE a soigneusement sélectionnés.

Ces fonds vous font participer au bénéfice de l'opération. Et grâce à l’enveloppe fiscale du PEA ou du PEA-PME, seuls les prélèvements sociaux seront alors dus, soit 17,2% !

Ce n'est pas sans rique bien entendu : ceux-ci sont énoncés dans le Prospectus et résumés ci-après.

Pour investir sur ce type de fonds, l’investissement minimal est de 5.000 euros et il faut s’engager sur la durée.

Compte tenu des frais annuels, proches de 4,8%, la performance à la sortie n’est pas connue ; elle pourrait d'ailleurs s’avérer négative, même si le savoir-faire des promoteurs choisis et la sélectivité des immeubles sélectionnés ont démontré par le passé leur pertinence.

Enfin, il ne faut pas oublier non plus qu’inscrire des titres non cotés sur un PEA ou un PEA-PME génère des coûts (qui peuvent atteindre plusieurs centaines d’euros par an selon les brokers). Mieux vaut donc investir suffisamment pour limiter leur impact mais ne pas perdre de vue que les fonds engagés sont bloqués pendant plusieurs années.

Contactez votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE pour une étude personnalisée adaptée à vos objectifs et votre profil de risque.

Nous vous présentons celui-ci, en cours de commercialisation sur la période juin 2018 - juin 2019  :

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Investissez dans l’immobilier résidentiel francilien,

dès 5 000 €

Fonds d’Investissements Alternatifs (FIA) avec offre publique visée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF).

Eligible au PEA et/ou PEA-PME.

Société en Commandite par Actions (SCA) à capital variable accessible dès 5 000 €.

L'objectif de collecte est d’atteindre 20 000 000 € ce qui permettra un portefeuille minimum de 15 projets immobiliers.

La sciété dans laquelle vous investissez a pour objet la réalisation d’opérations de réhabilitation, de construction, de revente d’immeubles neufs et de marchand de biens, avec une attention particulière sur le marché d’Île-de-France.

Un marché porteur

Depuis la crise de 2008, les prix de l’immobilier ont évolué inégalement entre chaque pays, mais ils ont tous connu d’importantes variations en fonction de leur conjoncture économique, de leur environnement fiscal ainsi que des conditions de financement.

De la même manière, les marchés ont réagi de façon distincte d’une grande métropole européenne à l’autre et il est donc légitime de s’interroger sur l’évolution future du marché immobilier francilien, principal moteur de l’immobilier dans l’Hexagone.

En effet, les prix des logements en Île-de-France ont été multipliés par 2,1 sur les 50 dernières années contre 1,6 en province . Cette différence est principalement liée aux évolutions post-récession de 2008-2009, ce qui tend à prouver que le secteur de la Pierre en région parisienne est à la fois plus réactif à la hausse et plus résilient à la baisse dans la conjoncture actuelle.

Cette déconnexion des prix s’explique par la structure du marché en Île-de-France, caractérisée par un niveau de demande élevé et une pénurie chronique de foncier «non bâti», créant ainsi de l’étalement urbain et de fortes distorsions de marché. L’objectif fixé par la loi « Grand Paris » de 2010 était de tendre vers la construction de 1,5 million de logements supplémentaires en Île-de-France à horizon 2030.

Avec une moyenne de 50 000 logements mis en chantier par an sur les 5 dernières années, alors qu’il en faudrait près du double, les pressions sur le marché du logement francilien n’iront pas en diminuant .

En 2016, la baisse marquée des taux de crédit a provoqué une recrudescence des ventes dans le secteur immobilier. Ainsi, les mises en chantier ont progressé de 10,4 % et les permis de construire de 14,8 %. Cette tendance a perduré sur l’année 2017 .

Le nouveau plan logement présenté fin septembre 2017 par le gouvernement Macron a vu la prolongation pour 4 ans du dispositif Pinel et du prêt à taux zéro ce qui devrait contribuer à soutenir les ventes immobilières sur la période.

Évolution des prix de l’immobilier en Europe

 

Indice du prix des logements, rapporté au revenu disponible par ménage

Période d’investissement conseillée

La Société sera dissoute automatiquement le 31 décembre 2025, sauf dissolution anticipée ou prorogation décidée à l’unanimité des associés commandités et à la majorité des deux tiers des voix des associés commanditaires délibérant dans le cadre d’une décision extraordinaire.

Les investisseurs pourront donc, s’ils n’ont pas cédé leurs titres avant, sortir du capital de la Société à l’issue d’une durée de 7,5 ans à compter de l’ouverture des souscriptions.Le boni de liquidation c’est-à-dire le solde du produit net de la liquidation après règlement du passif et remboursement le cas échéant aux associés commanditaires du montant du capital versé sur leurs actions et non encore amorti, sera réparti entre les associés commanditaires et commandités comme suit :

  • 20 % de celui-ci reviendra au(x) associé(s) commandité(s) ès-qualités. S’il existe plusieurs associés commandités, ils se répartiront cette somme comme ils l’entendent. A défaut d’accord entre les associés commandités sur cette répartition, celle-ci est faite à parts égales entre eux.
  • 80 % de celui-ci reviendra aux associés commanditaires et sera réparti entre eux au prorata du nombre de leurs actions.

La durée d’investissement conseillée est comprise entre 6,5 et 7,5 ans (dépendant de la date d’entrée de chaque investisseur) comprenant plusieurs périodes distinctes (tel que mentionné dans la frise chronologique ci-avant) :

  • Une première période de collecte (1) correspondant à la période d’offre de un (1) an ; et
  • Une seconde période d’investissement (correspondant à l’acquisition foncière) / désinvestissement (correspondant à la livraison des actifs immobiliers) (2) de six ans et demi (6,5 ans).

Les actionnaires disposent d’un droit de retrait à partir de juillet 2019 et pourront l’exercer tel que décrit dans la section 6.3.3 de la partie 1 du Prospectus.

Facteurs de risques

Les facteurs de risques ci-après sont décrits de manière plus détaillée dans les sections « facteurs de risques » du Prospectus.

Rien ne garantit la rentabilité de l’investissement au capital de la Société, ni même la récupération de tout ou partie de la mise de fonds initiale. Les investisseurs sont invités à prendre attentivement en considération les facteurs de risques décrits ci-après.

La réalisation de tout ou partie de ces risques est susceptible d’avoir un effet négatif sur les activités, la situation, les résultats financiers ou les objectifs de la Société.

D’autres risques, considérés comme moins significatifs ou non encore actuellement identifiés par la Société, pourraient avoir le même effet négatif et les Souscripteurs pourraient perdre tout ou partie de leur investissement.

Principaux risques relatifs à la Société

Risques d’une diversification réduite des projets

Risques liés à l’activité de la Société

Risques de dépendance à l’égard du Groupe Horizon

Risques de conflits d’intérêts

Risques liés aux charges

Risques inhérents à l’absence de comptes historiques de la Société

Risques liés à l’endettement

Risques relatifs au Conseil de Surveillance

Risques liés aux pouvoirs du Gérant et de l’associé commandité

Risques de dilution des Souscripteurs liés à la variabilité du capital social

Risques liés au droit de retrait

Risque « homme-clé »

Principaux risques propres aux valeurs mobilières offertes

Risque de caducité de l’Offre

Risques de dilution des Souscripteurs liés à la durée de la période de souscription des Actions

Risque d’absence de liquidité pour le Souscripteur

Risque de perte totale ou partielle de l’investissement en capital.

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